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90% des victimes
acceptent la première proposition
d’indemnisation que leur font les assurances

Indemnisation d'un dommage corporel : comprendre les enjeux

Que veulent les avocats généralistes ?
Traiter le dossier, mais le dommage corporel est complexe.

Que représente une procédure seul ?
Un parcours difficile face à des professionnels aguerris.

Que voulons-nous ?
Que les victimes obtiennent la réparation intégrale de leurs préjudices.

Votre droit à une réparation intégrale

Le Conseil de l’Europe l’affirme clairement dans sa Résolution 75 : « La personne qui a subi un préjudice a droit à la réparation de celui-ci, en ce sens qu’elle doit être replacée dans une situation aussi proche que possible de celle qui aurait été la sienne si le fait dommageable ne s’était pas produit ».
Pourtant, dans les faits, 90% des victimes acceptent la première offre des assurances…

Témoignages

Obtenir la Réparation de vos Préjudices

Internet permet de s’informer, mais face à un enjeu aussi important que votre indemnisation, l’accompagnement d’un avocat expérimenté en dommage corporel est indispensable.

Je vous reçois en consultation gratuite pour analyser votre situation et déterminer ensemble la meilleure stratégie pour défendre vos droits.

Prenons rendez-vous

Notre Accompagnement à vos Côtés

Gregory Viandier avocat specialiste dans la défense des victimes de dommages corporels

Maître Grégory Viandier

« J'ai choisi d'être avocat exclusivement dédié à la défense des victimes »

Avocat à la Cour d’Appel de Paris depuis 2001, je suis le fondateur du Cabinet.

Initialement investi dans le droit du travail et la santé au travail, j’ai fait le choix de consacrer mon activité exclusivement à la défense des victimes de dommages corporels.

Ce domaine du droit permet d’être réellement utile.

L’indemnisation obtenue peut changer positivement la vie d’une personne et de toute sa famille. C’est cette utilité concrète qui guide mon engagement quotidien.

Mon engagement repose sur 3 piliers

Notre méthode

Rigueur et proximité

Le parcours vers l’indemnisation d’un accident de la route, médical ou de la vie courante est toujours trop long.

C’est pourquoi la relation entre vous et votre avocat doit être fluide et fondée sur la confiance.

Méthode, précision et pugnacité face aux compagnies d’assurance : voilà ce qui fait la différence dans la défense de vos droits.

Découvrir notre méthode 

Une équipe d'experts à vos côtés

Les dommages corporels entraînent des conséquences médicales, économiques, professionnelles et psychologiques.

Pour évaluer l’intégralité de vos préjudices, nous collaborons avec des professionnels reconnus :

Médecins spécialistes pour l’évaluation de vos atteintes physiques

Psychologues pour le préjudice d’anxiété et les troubles psychologiques

Ergothérapeutes pour l’aménagement du domicile et l’assistance tierce personne

Experts économistes pour le calcul des pertes de gains et des préjudices professionnels

Ensemble, ils établissent non seulement les diagnostics précis de vos préjudices, mais surtout élaborent les solutions concrètes et chiffrent leur coût réel.

Découvrez les experts

Honoraires

À l’issue du 1er rendez-vous, si nous décidons de travailler ensemble, vous ne versez aucune avance d’honoraires.

Nos honoraires sont calculés sur l’indemnisation obtenue. Si la procédure est longue,
vous recevrez des provisions des assurances pour vos pertes et dépenses.

Nos domaines d'intervention en dommage corporel

Les accidents qui bouleversent une vie prennent des formes très différentes, et chacun répond à des règles juridiques spécifiques. Les jurisprudences évoluent constamment, tout comme les stratégies des compagnies d’assurance pour minimiser les indemnisations.

Une pratique exclusivement dédiée aux victimes. Je concentre mon activité sur la défense des victimes de préjudices corporels.
Cette expérience approfondie de plus de 20 années me permet de maîtriser les subtilités de chaque type de dossier.

Une approche honnête.
Mon expérience couvre une très large variété de situations. Si votre dossier sort de mon champ de compétences, je vous orienterai vers un confrère mieux placé pour vous défendre. Votre intérêt prime toujours.

Prendre rendez-vous pour analyser votre dossier

Comprendre votre procédure d'indemnisation

Vous n’êtes pas obligé de tout maîtriser dans les détails, mais vous devez comprendre l’essentiel. C’est votre dossier, votre avenir, vos décisions. Mon rôle : vous expliquer clairement chaque étape de la procédure d’indemnisation de vos préjudices corporels, vous présenter les options, vous conseiller.

Vous restez aux commandes.

Posez toutes vos questions sur l’expertise médicale, les barèmes d’indemnisation, les délais, les recours possibles. Vous aurez des réponses claires, en français compréhensible, pas en jargon juridique.

Parce que certaines interrogations reviennent souvent chez les victimes d’accidents, nous avons rassemblé les réponses aux questions les plus courantes et créé un glossaire du dommage corporel.

Les 10 techniques des assurances pour sous-évaluer votre indemnisation

Ce que toute victime d’accident doit savoir avant d’accepter une offre

Les experts de la compagnie ont tendance à minimiser vos préjudices corporels (déficit fonctionnel, souffrances endurées, préjudice esthétique, perte de gains professionnels).

La réalité : Cette expertise n’est jamais véritablement « amiable » – elle conditionne le montant de votre indemnisation.

La solution : Ne vous rendez jamais seul à une expertise médicale, faites-vous accompagner par un avocat expérimenté en dommage corporel et un médecin-conseil indépendant

Le piège : Après un accident de la route, l’assurance vous propose rapidement une provision en invoquant la loi Badinter. Cette somme semble généreuse et vous soulage financièrement. Mais elle est très souvent insuffisante et sous-évalue largement vos préjudices réels.

La réalité : L’assurance respecte la lettre de la loi mais ignore délibérément votre situation concrète : frais médicaux réels, perte de salaire effective, aide à domicile nécessaire, aménagement du véhicule ou du logement. Cette provision basse sert aussi à vous faire accepter une transaction définitive trop rapidement.

La solution : Ne signez aucun document de transaction sans analyse préalable. Acceptez la provision mais refusez toute renonciation à vos droits.
Faites évaluer l’intégralité de vos préjudices corporels et économiques par un avocat expérimenté en dommage corporel.
Demandez une provision complémentaire si la première est manifestement insuffisante.

Le piège : Dès les premiers jours après l’accident, l’assurance vous demande d’envoyer rapidement tous vos documents médicaux : certificats initiaux, compte-rendus d’hospitalisation, ordonnances, arrêts de travail. Cette apparente diligence cache une stratégie.

La réalité : L’assurance veut figer votre état de santé trop tôt, avant la consolidation de vos blessures. Elle utilisera ces documents incomplets pour contester plus tard l’aggravation de vos séquelles, nier le lien de causalité avec l’accident, ou minimiser vos préjudices définitifs (incapacité permanente, souffrances, préjudice professionnel).

La solution : Attendez la consolidation de votre état de santé avant de transmettre un dossier médical complet.

Faites évaluer vos préjudices par un médecin-conseil indépendant qui travaille pour vous, pas pour l’assurance
Ne transmettez que les pièces strictement nécessaires aux provisions. Conservez tous vos justificatifs originaux et envoyez uniquement des copies.

Le piège : L’assurance vous suggère de consulter un avocat « qui connaît bien ce type de dossiers » ou qui « facilitera la procédure ». Cette recommandation semble bienveillante, elle est en réalité dangereuse pour vos intérêts.

La réalité : Ces avocats « recommandés » travaillent régulièrement avec les compagnies d’assurance. Même s’ils ne sont pas corrompus, ils peuvent inconsciemment privilégier la rapidité et le compromis plutôt que votre indemnisation maximale. Certains négocient des honoraires directement avec l’assurance, créant un conflit d’intérêts majeur.

La solution : Refusez catégoriquement tout avocat recommandé par l’assurance adverse. Choisissez vous-même un avocat dont l’activité est exclusivement dédiée à la défense des victimes.

Vérifiez que votre avocat ne travaille JAMAIS pour les compagnies d’assurance.
Assurez-vous que vos honoraires sont convenus directement entre vous et votre avocat, sans intervention de l’assurance

Le piège : L’assurance vous envoie une offre d’indemnisation qui semble détaillée. Pourtant, plusieurs postes de préjudices sont discrètement absents ou ridiculement sous-évalués. Vous ne connaissez pas la nomenclature Dintilhac, vous signez.

La réalité : Les assurances omettent systématiquement les préjudices les plus subjectifs et donc les plus contestables : préjudice d’agrément (impossibilité de pratiquer vos loisirs), préjudice esthétique (cicatrices, déformation), préjudice sexuel, préjudice d’établissement (impossibilité de fonder une famille), frais de logement adapté, assistance par tierce personne future.
Ces postes représentent souvent 30 à 50% du montant total de l’indemnisation.

La solution : Exigez une évaluation complète selon la nomenclature Dintilhac qui liste tous les postes de préjudices patrimoniaux et extra-patrimoniaux.

Faites vérifier l’offre par un avocat expérimenté en indemnisation des victimes avant toute signature.
Ne vous fiez pas aux barèmes internes des assurances, souvent minorés.

Contestez systématiquement toute offre incomplète.

Le piège : Après plusieurs mois, l’assurance remet en cause une partie de vos frais : séances de kinésithérapie jugées « excessives », consultations d’ostéopathe « non remboursées par la sécurité sociale », transport en taxi « alors qu’un proche aurait pu vous conduire », médicaments « non prescrits », appareillage « trop sophistiqué ».

La réalité : L’assurance attend que les frais s’accumulent, puis conteste en bloc leur lien de causalité avec l’accident. Cette stratégie vise à vous décourager et à réduire votre indemnisation de plusieurs milliers d’euros. Pourtant, tous ces frais sont légitimes s’ils découlent directement de vos blessures.

La solution : Conservez religieusement tous vos justificatifs : factures, ordonnances, prescriptions médicales, bons de transport.
Faites établir par votre médecin traitant le lien entre chaque soin et l’accident

Demandez à un médecin-conseil indépendant de valider la nécessité et le caractère raisonnable de vos frais.
Contestez par écrit toute remise en cause, avec avis médical à l’appui.

Au lieu de l’assureur minimise mes souffrances endurées; Non, car un forfait ne tient souvent pas compte des besoins futurs, des séquelles et des pertes économiques. Solution : Refusez toute offre forfaitaire avant une évaluation détaillée de tous les préjudices actuels et futurs.

Le piège : L’assurance évalue vos souffrances physiques et morales sur une échelle de 1 à 7, puis applique un barème interne qui octroie des montants ridicules : 1 500 € pour des souffrances « moyennes » (niveau 3/7), 5 000 € pour des souffrances « importantes » (niveau 5/7). Elle présente ces chiffres comme une norme.

La réalité : Les souffrances endurées pendant la maladie traumatique (douleurs, interventions chirurgicales, rééducation, angoisse, perte d’autonomie temporaire) méritent une indemnisation bien plus élevée. Ces barèmes internes des assurances sont systématiquement inférieurs de 30 à 60% aux montants obtenus devant les tribunaux. De plus, l’assurance oublie souvent les préjudices permanents : incapacité fonctionnelle définitive, perte de qualité de vie, préjudice professionnel futur.

La solution : Refusez toute évaluation forfaitaire avant une analyse complète de vos préjudices actuels ET futurs.
Exigez une indemnisation basée sur les jurisprudences récentes, pas sur les barèmes internes de l’assurance.
Faites évaluer vos souffrances par un avocat expérimenté accompagné d’un médecin-conseil indépendant

Ne signez rien avant consolidation complète et évaluation de vos séquelles définitives.

Le piège : L’assurance vous propose une somme globale forfaitaire : « Nous vous proposons 50 000 € en règlement définitif de l’ensemble de vos préjudices ». Cette offre semble importante, vous êtes fatigué par la procédure, vous signez en échange d’une renonciation à toute action future.

La réalité : Cette indemnisation « tout compris » ne détaille aucun poste de préjudice et ignore délibérément vos besoins futurs : aggravation possible de vos séquelles, frais médicaux à venir, perte de revenus futurs si vous ne pouvez plus exercer votre métier, assistance par tierce personne définitive, aménagement futur de votre logement ou véhicule.
Vous renoncez à toute indemnisation complémentaire alors que votre état peut évoluer pendant des années.

La solution : Refusez catégoriquement toute offre forfaitaire globale avant consolidation définitive.

Exigez avec votre avocat une proposition détaillée poste par poste selon la nomenclature Dintilhac. Faites évaluer tous vos préjudices actuels ET futurs par votre avocat accompagné d’experts (médecin-conseil, ergothérapeute, économiste).

Ne signez jamais de transaction définitive sans analyse juridique préalable.

Le piège : Après des mois de silence, l’assurance vous contacte avec insistance : « Votre dossier est prêt, nous pouvons finaliser rapidement », « Signez cette semaine et vous recevrez l’argent sous 15 jours », « Cette offre est valable jusqu’à vendredi ». La pression est forte, vous êtes fatigué d’attendre.

La réalité : Cette accélération brutale n’est jamais un hasard. L’assurance veut clôturer votre dossier avant la consolidation médicale définitive, c’est-à-dire avant que vos séquelles permanentes soient stabilisées et évaluées. Elle craint l’apparition de complications tardives, d’aggravations, de préjudices professionnels futurs ou de besoins d’assistance permanente. Plus elle attend, plus votre indemnisation sera élevée.

La solution : Résistez à toute pression temporelle – un dossier de dommage corporel ne se bâcle jamais. Attendez impérativement la consolidation médicale confirmée par votre médecin.

Consultez votre avocat expérimenté en indemnisation des victimes avant toute signature.
Rappelez à l’assurance que vous ne signerez qu’après évaluation complète de tous vos préjudices définitifs.

Le piège : Les courriers de l’assurance regorgent de termes incompréhensibles : « consolidation », « déficit fonctionnel permanent », « quantum doloris », « préjudices patrimoniaux », « tierce personne », « capitalisation », « créances des tiers payeurs ». Vous vous sentez dépassé, incompétent, découragé.

La réalité : Cette complexité est volontaire. En noyant la victime sous un vocabulaire technique, l’assurance cherche à créer un rapport de force psychologique : « C’est trop compliqué pour vous, faites-nous confiance, signez ». Elle espère que vous renoncerez à contester par peur de ne pas comprendre ou de faire une erreur. Pourtant, ces termes sont simples une fois expliqués.

La solution : Ne signez jamais un document que vous ne comprenez pas intégralement.

Consultez notre glossaire du dommage corporel pour décrypter les termes techniques.

Faites examiner tous les courriers, offres et propositions de transaction par votre avocat expérimenté en défense des victimes. Exigez des explications claires en français compréhensible – c’est votre droit

Rappelez-vous : le droit est à votre service, pas l’inverse.

Notre cabinet soutient

Le rapport de force est totalement défavorable à la victime.
D’un côté, des spécialistes / experts des dossiers d’indemnisation qui connaissent les réglementations, les usages et les méandres du droit. Leur mission est de faire dépenser le minimum aux compagnies d’assurance qui les rémunèrent.
De l’autre, une personne souvent diminuée par ce qu’elle a subi, pour qui cette négociation est souvent une première.
S’ensuit trop souvent un parcours du combattant pour la victime à qui les professionnels se gardent bien de donner toutes les règles du jeu. Et quand on ne connait pas dans le détail tous les paramètres qui vont déterminer le montant d’une indemnisation, on est forcément perdant. Sans compter les pièges tendus tout au long de la procédure.  La victime ne peut s’imaginer que le système va la transformer en véritable proie.

C’est insupportable, et peut être évité.

Parlons-nous

D’expérience c’est le moyen le plus efficace pour comprendre comment vous aider.
Tant que nous ne sommes pas liés par une convention, c’est gratuit et sans engagement.